lundi, juin 16, 2008

C'est un peu comme un bas de contention pour sandwich non ?

Oh et puis j'ai déssiné ça. Car on a tous envie de devenir moine un jour. Si.

Oh et puis je suis allé voir la Vie du grand dom Quichotte et du gros Sancho Pança à la comédie française, très bien et très drôle. Filez-y !
Parcontre interdire les collégiens de théâtre pourrait être un super projet de loi plutôt que d'empecher les gens de fumer dans les bistrots. Genre si tu parles la placeuse vient te trouver et te met une balle dans la tête, ton cadavre dévale les places pour s'écraser dans l'orchestre. Silence dans la salle. La pièce reprend. Le lendemain la famille reçoit le prix de la balle. Avec une photo souvenir.

Satyriquement, j'ai plein d'idées en ce moment


5 commentaires:

Anonyme a dit…

Ah l'élitisme, c'est MOCHE. Willy aurait honte de toi mon petit.

Le Satyre a dit…

non là ce n'est pas de l'élitisme, c'est la différence entre un mac do et la comédie française ma chère, et ne parle pas de willy, je n'ai plus de nouvelle de lui, il serait parti en Russie là...on a très peur.

Anonyme a dit…

Le théâtre c'est fait pour tout le monde, même les collégiens, et s'ils t'emmerdent tu te retourne et tu leur dis de la fermer, même moi, avec mon imposante taille ils m'écoutent. Parce que oui, ils sont chiants, mais je préfère un théâtre plein de collégiens qui parlent et qui une fois sortis vont être enthousiasmés par quelque chose, qu'un théâtre pleins de gens silencieux qui se gargarisent de leur propre intellect, et Dieu sait s'il y en a.

Quant à Willy, pas de souci pour lui, pour le moment il passe le plus clair de ses journées dans mon sac, je le balade un peu partout, dans le tromé, dans le tram, au Conservatoire, on s'amuse bien.

Le Satyre a dit…

ah moi j'aime bien les société de gens qui s'auto-masturbent intellectuellement, mais c'est certes un avis très personnel.

Mais de quel Willy parles-tu ?

Anonyme a dit…

Puf puf puf.

Je parle pas de ton ordinateur, mais de Shakespeare voyons, LE Willy!
C'est écrit sur la jolie couverture rouge : Mesure pour mesure, William Shakespeare, Traduction nouvelle de Jean-Michel Deprats.